jeudi 15 décembre 2011

Le château de Hautefort dans le feuilleton Rani

Hier soir sur la 2 commençait le feuilleton Rani qui commençait par une vue du château de Hautefort où allait se dérouler le premier épisode.
http://www.sudouest.fr/2011/03/16/de-l-inde-au-perigord-343784-756.php
http://web.mac.com/o.schmitt/UN_JOUR_CHEZ_NOUS/Le_Blog/Entr%C3%A9es/2011/4/17_L%E2%80%99AVENTURE_RANI.html

"Parlez-nous du travail à entreprendre en France pour redonner à un lieu comme le château d’Hautefort un aspect d’époque :
Le château d’Hautefort est un décor “clefs en main”. Il a été achevé au XVIIe siècle, Rani se déroule en 1750, il est donc de la bonne période et, de plus, meublé d’époque. Mais il a fallu masquer toutes les prises électriques, les interrupteurs, les alarmes, les gouttières en plomb, et changer parfois le mobilier et quelques peintures du XIXe. Le plus délicat a été de remplacer toutes les bougies des sublimes lustres par nos ampoules-bougies qui vacillent comme de vraies bougies. Le château ayant pris feu il y a quelques années, par sécurité j’ai engagé un assistant déco dédié à cet aspect, et deux pompiers étaient présents lors du tournage. "
source : http://programmes.france2.fr/rani/index.php?page=article&numsite=8186&id_rubrique=8204&id_article=28784



J'ai reçu une première "critique" :

" J'ai aimé le côté très romanesque du téléfilm : ça rappelle les grands romans de l'abbé Prévost, avec enfant naturel, ministres véreux, passages secrets, déportations aux colonies... il ne manque que le naufrage en mer (sans doute dans un prochain épisode). J'ai moins goûté le côté un peu racoleur du film : femmes qui se battent, viols en gros plan. Mais il est vrai que cela aussi fait partie des romans de l'abbé Prévost. Le passage que j'ai préféré, c'est la vision de Mahé, aux Indes, et la maison de prostitution. "l'abbé Prévost" est le nom légué par la tradition littéraire, et par l'école. On doit l’appeler par son "vrai" nom complet : Prévost d'Exiles."

Ce feuilleton n'est arrivé que troisième en nombre de téléspectateurs. Ben, de nos intellos (et dire que ce terme est devenu une insulte ! triste, triste ! mais il y a un peu la faute des ...) critiqueront. Et ils iront dans le sens du vent. Voyez ce qui est passé devant ce feuilleton.
Bien sûr on peut critiquer le genre et je n'ai pas l'habitude de lire ces histoires. Et on ne peut sortir Autant en emporte le vent tous les ans ! Mais quid des émissions qui ont eu beaucoup plus d'audience ?

Tout ça me rappelle qu'après 68, à la Cité U, dans la salle de télé, il fallait se bagarrer pour que l'émission sélectionnée ne soit pas de celles qui allaient annoncer les émissions de "prime time" en rose bonbon et claque commandée. Et dire que d'aucuns disaient "non à la société de con sommation !" On a vu la suite.

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